CES 25 , 26 & 27 OCTOBRE LA LIGUE WALLONNE DE BRUXELLES SEMBLE AVOIR LANCE SUR BASE DU FICHIER DES SIGNATAIRES DE L’APPEL A DES ETATS GENERAUX DE WALLONIE ( ???) UNE LARGE CONSULTATION SUR LA BASE d4UNE QUESTION QUE VOICI PLUS BAS, SUIVENT EGALEMENT LES TROIS EPISODES DE LA REPONSE ARGUMENTEE DE MILOU RIKIR , LA REPONSE DE PIERRE DUTRON PRESIDENT DU R.P.W. , ET ENFIN CELLE DU « COQUELICOT DU HAINAUT » (HAINAUT FRANÇAIS). BONNE LECTURE ET LA SUITE AU PROCHAIN NUMERO
Objet : L'engagement de la Ligue wallonne de Bruxelles asbl
Chère Madame,
Cher Monsieur,
Voulez-vous bien donner votre point de vue, par courriel, sur la Belgique de demain ? Comment la voyez-vous ?
- Une Belgique fédérale ?
- Une Belgique confédérale ?
Nous vous remercions de votre participation à l’action d’information de la Ligue wallonne de la Région de Bruxelles.
Nous vous prions de croire, chère Madame, à l’assurance de nos sentiments les meilleurs.
Raymond Watrice
Secrétaire de la Ligue wallonne de la Région de Bruxelles asbl
Messieurs,
Chers amis wallons,
À votre question, il me paraît aujourd'hui qu'aucun militant wallon sincère et conscient des réalités ne peut répondre autrement que par le souhait ardent que la Belgique n'ait plus de demain du tout. Le seul espoir du Peuple wallon est dans la disparition totale de cet État fantoche qui n'aura jamais réussi à être un pays. L'eût-il pu, d'ailleurs ?
Donc, il va de soi que la question que vous posez n'a, en l'occurrence, aucun intérêt. Une Belgique fédérale serait un véritable "sur-place" et donc, à terme, la première ébauche d'une régression et d'un retour à la Belgique unitaire. Une Belgique confédérale, quant à elle, ne serait que l'annonce de la disparition à terme. Autant faire l'épargne de tout ce temps perdu (avec ce qu'il représentera d'argent et de souffrances pour notre Peuple) et aller carrément à l'indépendance qui est la seule solution de courage. La Wallonie et les Wallon(ne)s doivent enfin s'assumer et cesser de rejeter continuellement les torts sur d'autres : hier la Belgique, aujourd'hui la Flandre, demain Paris ou l'Europe.
Vive la Wallonie, libre, indépendante et républicaine dans l'Union Européenne !
Bien à vous,
Salut et Fraternité !
Milou (Émile) Rikir
10, rue Sous-les-Roches
B-4500 HUY
WALLONIE
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"Un peu d'internationalisme éloigne de la Patrie,
Beaucoup d'internationalisme y ramène.
Un peu de patriotisme éloigne de l'Internationale,
Beaucoup de patriotisme y ramène"
Jean JAURÈS
Vive la Wallonie, libre, indépendante et républicaine
Cher Monsieur,
Je vous remercie pour votre très pertinent avis.
Permettez-moi une question complémentaire : souhaiteriez-vous le rattachement à la France, un retour à la mère-patrie ?
Je publierai votre avis sur le blog de la Ligue wallonne accessible via : http://liguewallonnebruxelles.skynetblogs.be
Bien cordialement
Raymond Watrice
Secrétaire de la Ligue wallonne de la Région de Bruxelles
Cher Monsieur,
Cher Ami wallon,
La France n'est pas, n'a jamais été et ne sera jamais notre mère-patrie. Que je sache (et je suis historien), hormis Tournai, Barbençon, Philippeville et Mariembourg, les provinces formant actuellement la Wallonie n'ont plus dépendu de la France depuis le traité de Verdun (France qui, d'ailleurs, n'existait pas avant cette date). Hormis l'épisode révolutionnaire et impérial (1795-1814), nous n'avons jamais été français. Certes, ce furent là (partiellement) des heures de gloire, mais je ne vois nullement en quoi cela nous autoriserait à parler de "mère-patrie". Et, sinon, pourquoi ne pas réclamer aussi la ré-annexion à cette pseudo-"mère-patrie" des Pays-Bas, de la Toscane, du Latium, du Piémont, du Valais, de la Catalogne, de l'Allemagne du Nord-Ouest, de la Cisrhénanie ou... de la Flandre, toutes régions qui firent partie du Grand Empire ???
La Wallonie est ma seule patrie. Tous les annexionnistes français pourront tâcher de me convaincre du contraire, je connais l'histoire de mon pays (et ne m'amuse pas à la traficoter) et cette histoire n'est pas française. Quant à l'aspect linguistique, je n'oublie pas que jusque la seconde guerre mondiale, la première langue parlée par la majorité des Wallonnes et des Wallons (c'est-à-dire son peuple travailleur, pas la bourgeoisie "frankeûpheûne"), dans leur vie de tous les jours, c'était l'une de nos langues régionales, n'en déplaise à tous ceux qui nient cette réalité du Peuple wallon. Et que ces langues sont toujours bien vivantes, n'en déplaise à la retebefe et au Swâââr belgo-aernoudtien-bruxellois.
Tout cela étant écrit, je n'en suis pas moins un partisan des meilleures relations possibles avec notre grande soeur. Mais dans l'indépendance et le respect mutuel (ce qui ne sera nullement aisé de la part de la grande soeur en question, qui a toujours une fâcheuse tendance à se prendre pour le boeuf alors qu'elle n'est même plus grenouille).
Inutile, après cela, de vous préciser que par ailleurs, je ne suis nullement gaulliste (si cela était jamais votre prochaine question).
Bien à vous,
Salut et Fraternité !
Milou (Émile) Rikir
10, rue Sous-les-Roches
B-4500 HUY
WALLONIE
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"Un peu d'internationalisme éloigne de la Patrie,
Beaucoup d'internationalisme y ramène.
Un peu de patriotisme éloigne de l'Internationale,
Beaucoup de patriotisme y ramène"
Jean JAURÈS
Vive la Wallonie, libre, indépendante et républicaine !
Cher Monsieur,
Je suis quelque peu surpris par votre message. Je suis originaire de Morville (rattaché à Florennes), commune de l’arrondissement de Dinant-Philippeville. C’est tout naturellement que j’ai fait mes études secondaires à Dinant.
Que pensez-vous des marches napoléoniennes en Entre Sambre et Meuse (Florennes, Biesmerée…) ? Ne sont-elles pas l’expression d’un souhait d’un rattachement à la France ?
Bien cordialement.
Raymond Watrice
Cher Monsieur,
Cher Ami wallon,
Puisque nous en sommes aux souvenirs historiques, autant vous le dire : je suis "bonapartiste", passionné de l'histoire politique et administrative du Grand Empire français. Cela ne fait pas de moi un Français. Cela fait de moi un partisan de l'Empereur (pas du militaire, mais du grand organisateur institutionnel). Je suis d'ailleurs en phase de réalisation d'un ouvrage sur cette question, avec un historien français. Et j'apporte mon concours à un doctorant français pour sa thèse sur les députés au Corps législatif du Consulat, de l'Empire et des Cent-Jours. C'est vous dire, notamment, que je ne suis pas un ennemi de la France (contrairement à ce que certains annexionnistes ne manqueront pas de vous dire).
Les marches napoléoniennes de l'Entre-Sambre-et-Meuse sont effectivement le souvenir d'un moment de gloire. Nous n'avons pas ici à Huy ce type de nostalgie, mais nous avons toujours notre Chaussée Napoléon, qu'aucun régime n'a pu faire disparaître ; la Ville de Huy – comme Liège – fête le 14 juillet (même si cela est moins solennel et populaire que dans la Cité ardente, mais tout de même plus que le 21 juillet qui n'intéresse que les autorités constituées). Mais je vous signale que, dans d'autres régions d'Europe qui firent ou non partie du Grand Empire, il y a aussi pareilles commémorations et attitudes. Savez-vous que, parmi les troupes "reconstituantes" des grandes batailles napoléoniennes, ce sont aujourd'hui les... Russes et les Anglais qui sont parmi les plus fervents adorateurs de l'Empereur. Cela n'en fait ni des Français, ni des partisans de l'annexion de leur pays à la Fille aînée de l'Eglise !
Parmi les régions qui ont le plus "fêté" Napoléon depuis 1999 (date du début des manifestations du bicentenaire de sa prise du pouvoir), l'Argovie, le Tessin ou Saint-Gall ont été en pointe, mais pas le Valais. Les historiens "hollandais" sont à la pointe du progrès pour ce qui est de la mise en lumière des archives de la période "Bonaparte" mais c'est la République française "une et indivisible" qui a singulièrement brillé par son absence des célébrations d'Austerlitz. La même France qui – très sélective de son passé – ne se met que depuis un an à enfin assurer la mise en ligne sur Gallica (site que vous devez connaître, je l'espère) de textes importants de la période impériale, qu'elle préférait jusque-là occulter. La Bibliothèque nationale de France (et les autorités "républicaines" derrière elle) y ont été contraintes par le succès rencontré par la mise en ligne de ces ouvrages sur Google Livres, outil américain exceptionnel que les Jacobins français toisaient du haut de leur supériorité insufférable.
Il me semble que vous confondez tout. Être francophone, être un partisan convaincu de la défense de la langue française (ce que je suis, mais pas dans le sens de ce repaire de la bourgeoisie orléaniste et de la noblesse légitimiste – devenues gaullistes après avoir été pétainistes – qu'est encore l'Académie française), cela ne conduit pas fatalement à être annexionniste. Heureusement ! Il est encore une masse de Wallonnes et de Wallons qui se sentent de chez eux, de Wallonie, de ce petit bout de terre enclavé entre l'Allemagne et la "Frâânce éternelle". Et qui ne voulaient pas, ne veulent pas et ne voudront jamais devenir Français.
Je ne regarde plus jamais aucun journal télévisé "belge" depuis maintenant près de vingt ans, je ne parcoure "Le Swâââr" belgo-bruxellois qu'à la recherche des nécrologies (pour mon travail) et des mots croisés (pour la détente). Pour le reste, je suis un abonné au "Monde" depuis 1975 et je ne regarde que les chaînes françaises. J'adore la culture française, la littérature française, la cuisine française et je déteste la "coca-cola-culture" qui nous vient d'outre-Atlantique. Je suis un passionné, depuis très longtemps, de l'histoire de France, ma soeur est naturalisée française et mes neveux et nièces sont français, à défaut de pouvoir être Occitans.
Mais en quoi tout cela ferait-il de moi un Français ? La langue ? La langue n'est rien si elle n'est pas rattachée à autre chose. Cette autre chose, c'est la Patrie. Et ma Patrie, c'est la Wallonie, aucune autre. Oui, je ne m'en cache pas, ne m'en suis jamais caché, je suis un nationaliste wallon. Et un nationaliste de gauche (anciennement d'extrême-gauche, puisque je fus un temps communiste et que, si je continue à travailler en tant qu'archiviste pour le Centre des Archives communistes en Belgique, j'ai complètement rompu depuis plus de dix-sept ans avec cette idéologie absurde et criminelle).
Vous me dites être de Morville, village qui n'a jamais appartenu à autre chose, depuis le Moyen âge, qu'au comté de Namur, bailliage de Bouvignes-sur-Meuse. J'aimerais assez qu'à part le bref épisode (dans l'histoire d'un pays, que sont – 1795-1815, dans le cas de Morville – vingt années ?) révolutionnaro-impérial, vous me montriez en quoi votre village serait "français", hormis l'imposition progressive, par l'État et la bourgeoisie belges, de la langue française. Que je sache, le comté de Namur, depuis 843 jusqu'en 1794, fit partie de la Lotharingie, de la Francie (mot dérivant de "Franken", et non de "France") orientale puis du Saint-Empire Romain de la Nation germanique. Où est la France dans tout cela ? Nous avons été annexés au "Royaume des Pays-Bas" de 1815 à 1830. Ces quinze brèves années justifieraient-elles que se crée aujourd'hui, à l'aube de la disparition de la Belgique, un "mouvement pour le retour aux Pays-Bas" ? Certes pas, cela serait absurde, comme l'est cette revendication d'une annexion à la France, portée à bout de bras par tout ce que la Belgique "frankeûpheûne" compte de nostalgiques de la Belgique de grand'papa (RTBf, Le Swâââr et autres belgo-bruxelloiseries) et par certaines officines – proches d'un certain quai d'Orsay ou d'une certaine place Beauvau – de la République.
Toutes les discussions que j'ai eues et que j'aurai encore avec les rattachistes de toutes chapelles tournent autour de cette question : tous se réfèrent uniquement à la période 1795-1814 pour justifier un pseudo-"retour" à ce que vous appelez bien erronément la "mère-patrie". Mais l'histoire, la vie économique et sociale, la culture, les "racines" en un mot, de notre Peuple ne se résument pas à ces vingt ans. Quant à moi, je ne fais l'impasse sur aucune période de l'histoire de mon Peuple. Nous avons été indépendants, dans le cadre d'une structure impériale allemande assez lâche (mais néanmoins beaucoup moins "lâche" que ne le prétendent certains rattachards, à la sauce Gendebien, par exemple), pendant près de neuf cents ans. Et cela ne compterait pour rien par rapport à vingt ans d'annexion à la France "une et indivisible" (le genre de formule ridicule qu'adorent les Jacobins de tous poils) ???
Enfin, je reste – philosophiquement parlant, s'entend – un fédéraliste, partisan des théories institutionnelles inspirées de Proudhon. Ce qui a été expérimenté en Belgique n'est nullement et n'a jamais été le fédéralisme, mais simplement un processus lent (et "flamand") de destruction de cet État improbable. Mais nous avons devant nous un grand oeuvre : la constitution d'un État fédéral européen, dans laquelle la Wallonie aura toute sa place comme État constitutif républicain, indépendant et souverain, aux côtés de l'Irlande, de la Slovaquie, de la Pologne, de la Bretagne, de la Corse ou de la Catalogne.
Voilà la réalité. Elle n'est pas faite de mythes ou de souvenirs de temps plus ou moins glorieux.
Bien à vous,
Salut et Fraternité !
Milou (Émile) Rikir
10, rue Sous-les-Roches
B-4500 HUY
WALLONIE
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"Un peu d'internationalisme éloigne de la Patrie,
Beaucoup d'internationalisme y ramène.
Un peu de patriotisme éloigne de l'Internationale,
Beaucoup de patriotisme y ramène"
Jean JAURÈS
Vive la Wallonie, libre, indépendante et républicaine !
AYANT RECU LA MÊME QUESTION VOICI MA REPONSE SUR LA 1ère QUESTION
Objet : REPONSE A VOTRE QUESTION
Bonsoir,
Plus de belgique du tout et cinq entités souveraines de l'Europe Economique à savoir:
(par ordre d'importance):
Une République de Flandre indépendante.
Une République de Wallonie indépendante.
Une ville de Bruxelles Libre et Européenne au statut de région capitale Européenne.
Une Région Allemande de Wallonie, avec un statut de région souveraine d'Europe.
Un condominium des Fourons avec une gestion bilingue absolue (Flandres/Wallonie) et un droit renforcé des minorités.
A noter que dans cette perspective, il est souhaitable que les droits sociaux et médicaux des anciens belges soient préservés( ONP-INAMI-ONPTS-ONAFTS etc), c'est pourquoi des accord multilatéraux devront être adoptés et organisés afin de prévoir un maintien des droits précédemment acquits, par une gestion commune des droits et des bénéfices sociaux correspondants aux cotisations des intéressés, pour la suite, le financement étant assuré par les paiements par chaque entité au prorata des populations et des revenus de celle-ci par un système basé sur la solidarité et la répartition proportionnelle des richesses générées.
Pour d'autres matières, je pense que la situation actuelle semble se dessiner pour des alliances entres Bruxelles, Wallonie et région Allemande, qui si elle se concrétise pourrait alors amener cette nouvelle zone comme la plus porteuse de l'ancienne belgique avec un PIB de loin supérieur à la Flandre, et peser d'un poids politique bien supérieur aussi avec la place forte de Bruxelles capitale européenne.
Dans cette guerre que veut la flandre, elle risque d'y perdre bien plus que d'y gagner, car avec un gros 10% de néerlandophones recensés sur bruxelles(en baisse chaque année), comment peut elle encore croire qu'elle va garder bruxelles comme capitale flamande? C'est surréaliste et le moment venu personne ailleurs qu'en flandres ne pourra rester sur cette idée...
Voilà ce que je penses et souhaite pour l'avenir de cette Belgique qui pour moi n'a jamais été un "pays" au sens ethnologique et anthropologique du terme, mais tout au plus un "Etat" artificiel fabriqué par le puissances européennes du début du 19ème siècle et qui ne doit sa richesse qu'à une exploitation scandaleuse de l'ex congo belge par Léopold II, Vandervelde n'avait-il pas surnommé le cinquantenaire "L'arche des mains coupées" mais de cela personne encore en Belgique n'ose vraiment en parler.
J'espère que vous oserez publier in extenso mon propos car je ne crois pas que vous aurez beaucoup de solutions comme celle qui y est exposée, mais je pense que cela doit être porté à la connaissance de vos visiteurs sur la toile.
Pierre DUTRON Président du RPW
AYANT RECU LUI AUSSI CETTE QUESTION VOICI LA REPONSE DE GUY DUTRON
POUR « LE COQUELICOT DU HAINAUT » GAUCHE ALTERNATIVE DU HAINAUT (AVESNOIS – CAMBRAISIS)
Bonsoir Monsieur,
Je ne sais pourquoi vous m'interrogez.
Certes j'ai signé l'appel des Etats généraux de Wallonie, par solidarité Wallonne surtout.
Je suis militant politique en Wallonie Française : Le Hainaut français. Je suis aussi économiste, militant syndical SOLIDAIRES, écrivain, j'aime l'histoire (voir mes livres qui sortent dans ma signature électronique) .....n'en jetons plus !!
Mon analyse de la Belgique, c'est qu'elle est, depuis l'origine un pays artificiel.
Que toute son histoire : le XIX éme siècle de la grandeur wallonne, la guerre de 14, l'entre-deux guerre et l'émergence du nationalisme flamand, la guerre de 39-45, la question royale, les mentalités respectives et le rôle de l'église ....Je n'en finirais plus !!
Tout, à mon avis, a contribué à éloigner l'un de l'autre walons et flamands.
La vie politique belge avec ses travers, sa corruption, etc. ont également joué un rôle.
Je pense donc, après analyse de toutes ce données, que la solution efficace n'est ni un fédéralisme ni un confédéralisme mais une séparation avec une Flandre Indépendante et une Fédération Wallonie Bruxelles indépendante.
Les deux entités sont également viables dans une Europe Fédérale des Régions encore à construire.
De toute manière, après les NON français, néerlandais et Irlandais, l'Europe est en panne. Il faudra bien un jour se résoudre à "faire quelque chose" !!
C'est pour cette raison que nous avons publié, avec mon frère Pierre, président du Rassemblement Populaire Wallon un "Manifeste pour une Europe Fédérale des Régions" que vous pourrez lireen cliquant sur le lien ci-dessous qui vous permettra d'accéder au blog de notre collectif Gauche Alternative Sambre-Avesnois:
MANIFESTE EUROPÉEN POUR L’EUROPE FÉDÉRALE DES RÉGIONS L’EUROPE DE LA DECROISSANCE !